lunes, 19 de agosto de 2013

Marco Nguyen (1982), Pierre Perifel (1980), Xavier Ramonède (1980), Olivier Staphylas (1980) & Rèmi Zaarour (1982): Le building (El edificio, 2005)



Véase la web de este premiado cortometraje de animación, realizado por el aquel entonces estudiantes: http://www.le-building.com/index.htm

El patio de mi casa...: torres de viviendas y oficinas en Vitoria (Ábalos & Herreros, 2001-2006)

Vitoria






Vitoria tiene un clima continental. Temperaturas máximas que rondan los treinta grados en verano, y mínimas de un par de grados en invierno. Te asas y te hielas.
Los conocidos arquitectos Ábalos y Herreros construyeron cuatro torres aisladas de oficinas y viviendas , dispuestas según una complicada trama geométrica, con fachadas con grandes superficies acristaladas.

En una reciente entrevista (Anatxu Zabalbeascoa: "Un arquitecto de mundo", El País dominical, 1925, 18 de agosto de 2013, ps. 50-54), se les preguntaba por la bondad de una "arquitectura memorable, sólida y adaptada a las necesidades reales de la sociedad" -de las necesidades de los usuarios, nada se dice-,  calificada de bioclimática, pero que "necesitaba aire acondicionado para evitar el calor".
¿Respuesta de Iñaki Ábalos ? : "(las torres) tuvieron la más alta calificación energética".
Se añadía: "si en un momento dado hay tres días de sol excesivo, puedes tener calor". Respuesta memorable.

Es decir:
a) no importa que los usuarios tuvieran (sensación de ) calor; lo que cuenta es la calificación energética.
b) Hace sol, por tanto, calor excesivo, es inevitable: luego, se puede forrar el edificio de vidrio, ya que ¿qué se le va a hacer?
¿Para qué dar cuerpo a los muros, y adaptar los huecos a la orientación?

Iñaki Ábalos ha sido nombrado director de la escuela de arquitectura en la Universidad de Harvard.

domingo, 18 de agosto de 2013

Antiguos y modernos

“Nuestra sensación de que estamos antes cosas “antiguas” –histórica y prácticamente- está producida por la sensación que nosotros somos “modernos”” (David Wengrow, arqueólogo e historiador inglés del Próximo oriente antiguo). 

Pero ante el derrumbe moral de los tiempos modernos, ¿no nos sentimos cansados, viejos, mientras que las obras del remoto pasado nos parecen llenas de un inusitado vigor y frescura, como si fueran radicalmente nuevas, modernas?

sábado, 17 de agosto de 2013

ALEKSANDR SOKUROV (1951): LES COURAGEUX / THE BRAVE (BRUSELAS, 2013)

Diversas salas expositivas y de cine en la capital belga, Bruselas, organizan la primera muestra antológica del cineasta ruso Aleksandr Sokurov, conocido por el premiado film El arca rusa.
La muestra incluye una nueva obra fílmica: un documental sobre el saqueo del Museo Nacional de Iraq en Bagdad, acontecido cuando la invasión de la coalición internacional en 2003, mientras en museo fue desprotegido por las tropas norteamericanas.
Este documental se proyectará en una sala de exposición (y no en un cine), como una video-instalación, sobre múltiples pantallas dispuestas en el circuito expositivo.
El documental se basa en filmaciones anteriores realizadas por diversos cámaras. En particular, el cineasta Alexei Jankowski, ayudante de Sokurov, solicitó, por internet, el envío de cuánto material gráfico (fotográfico, videográfico, fílmico) se pudiera legalmente hallar sobre el Museo Nacional de Iraq en Bagdad y sobre el patrimonio cultural iraquí tras la invasión; este material gráfico ha sido seleccionado y montado por Sokurov.
En concreto, la última parte de la muestra incluye filmaciones que el director y actor de teatro, televisión y cine Marcel Borràs (junto con imágenes y breves filmaciones de Albert Imperial, Marc Marín y Pedro Azara) realizó en su viaje de dos semanas a Iraq en octubre y noviembre de 2011.
La exposición presenta la nueva película comercial de Sokurov: A Lonely Voice of Man, sobre su amistad con el cineasta Andrei Tarkovsky y sus dificultades y problemas con las autoridades soviéticas.
También se mostrará su película Fausto por primera vez en Bélgica.
La muestra viajará a continuación al Museo del Ermitage en San Petersburgo.
Ha sido ofrecida al MACBA de Barcelona. Sin respuesta.
PRESENTACIÓN DE LA MUESTRA:

UN REGARD SUR L’EFFORT INTERNATIONAL POUR PROTÉGER LE PATRIMOINE HISTORIQUE DE L’IRAK 
Une exposition supervisée par ALEKSANDR SOKUROV 
LES COURAGEUX / THE BRAVES 
“...TO PRAISE THE PEOPLE WHO FIGHT TO SOLVE THE PROBLEMS AGAINST IMPOSSIBLE ODDS, INSTEAD OF DOING NOTHING”  Prof. John Russell 
Recherche et réalisation: Alexei Jankowski 
Avec une oeuvre originale de Emil Kapelush 
12.09&28.11.2013 . GALERIES . Ouvert 14:00 – 20:00 ( sauf le lundi)
VERNISSAGE  11.09.2013 . 19:00 (en présence d’ALEKSANDR SOKUROV & ALEXEI JANKOWSKI )
L’exposition «Les courageux», supervisée par Aleksandr Sokurov, s’interroge sur le pillage du patrimoine historique d’Irak depuis les années 1990. Sous forme de multi-projection de photos et vidéos d’archives, l’exposition se veut un récit/documentaire sur la trace de ces événements désolants et un hommage à ceux qui ont sauvé ce patrimoine.
En correspondance directe avec l’exposition, la rétrospective «L’art et les gens en guerre», s’arrête, entre autres, sur le conflit aux confins du Tadjikidtan et l’Afghanistan, le siège de Leningrad pendant la Seconde Guerre mondiale ou la guerre de Tchétchénie.


RETROSPECTIVE ALEKSANDR SOKUROV ET EXPOSITION « LES COURAGEUX »

supervisée par ALEKSANDR SOKUROV
12.09>28.11.2013. GALERIES. ouvert 14:00 – 20:00 (sauf le lundi)
VERNISSAGE  11.09.2013. 19:00 (en présence d’ALEKSANDR SOKUROV & ALEXEI JANKOWSKI)
Le cinéma d’Aleksandr Sokurov possède une grande puissance de figuration du fait de ses emprunts picturaux. De surcroît, il a fait l’un des plus grands films sur l’Ermitage, l’un des plus grands musées du monde, L’Arche russe. Le film est conçu comme une gigantesque visite ininterrompue, en un plan unique. Son élégie qui l’a fait voyager de Russie au Musée Boijmans Van Beuningen est également une traduction de sa passion pour l’expression muséale, la visite comme travelling… Ses expériences temporelles, son style de tournage, font du cinéma de Sokurov une sorte d’équivalence de la déambulation méditative proche d’une certaine ascèse de la visite muséale.
Le travail cinématographique de Sokurov et sa connaissance muséographique sont exposés à Bruxelles de septembre à novembre: une large rétrospective de ses films à découvrir à BOZAR, CINEMATEK et GALERIES, et l’exposition ‘Les courageux’ à GALERIES, supervisée par l’artiste. Fictions et documentaires seront répartis en trois ensembles cohérents: à BOZAR première de Faust et programmation de documentaires; ensemble de “Fictions et Elégies” à CINEMATEK et cycle “L’art et les gens en guerre” à GALERIES. L’exposition ‘Les courageux’ revient et s’interroge sur le pillage du Musée National de l’Irak et de plusieurs autres drames subis par le patrimoine historique d’Irak dans les troubles qui ébranlent le pays depuis les années 1990. Sous forme de multi-projections de photos et vidéos d’archives, l’exposition se veut un “ film documentaire dans l’espace “, un récit à découvrir sur la trace de ces événements désolants, et un hommage à ceux qui ont travaillé dans des conditions impossibles pour sauver ce patrimoine.
13.09 ¦ 20:00 A LONELY VOICE OF MAN (ALEKSANDR SOKUROV,1978-1987, 87’, VO ST ANGL) Nikita est soldat dans la très jeune Armée rouge. Après la guerre civile, il retourne dans sa province et rencontre Ljoeba dont il tombe amoureux. Ljoeba et Nikita se marient, jusqu’à ce que Nikita, malheureux, décide de partir en voyage. A Lonely Voice of Man est le film de fin d’étude de Sokurov, étudiant à la VGIK de Moscou, dédicacé à Andreï Tarkovski qui a soutenu son élève face à la censure soviétique. Terminé en 1978 mais immédiatement interdit, il sortira remanié en 1987 et recevra alors de nombreux prix, notamment à Locarno la même année.
16.09 ¦ 20:00 SONATA FOR VIOLA. DMITRI SHOSTAKOVICH (ALEKSANDR SOKUROV, 1981, 75’, VO ST FR) Vénéré au début de sa carrière, le pianiste et compositeur Dmitri Chostakovitch (1906-1975) tombe en disgrâce publique et politique sous Staline. Ce requiem tragique pour Chostakovitch, finalement réhabilité en 1958 et officiellement admis au panthéon des artistes soviétiques, est une double chronique : celle du musicien – à travers des documents personnels et des spectacles -, et celle de l’ère soviétique – à travers des images d’archives de la vie quotidienne dans l’URSS.
23.09 ¦ 20:00 PAINFUL INDIFFERENCE (ALEKSANDR SOKUROV, 1987, 110’, VO ST ANGL) Pour éviter les horreurs de l’Histoire et les problèmes de l’existence, un homme décide de rester cloîtré dans sa maison. Painful Indifference, également interdit jusqu’en 1987, s’inspire de la pièce de George Bernard Shaw, La Maison des coeurs brisés, qui symbolise par son titre l’Europe d’avant la Première Guerre mondiale.
03.10 ¦ 20:00 AND NOTHING MORE (ALEKSANDR SOKUROV, 1987, 70’)
Méditation sur la coalition de l’URSS, de la Grande- Bretagne et des Etats-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale, And Nothing More utilise des images d’archives de ces différents pays. Les leaders des puissances alliées, Staline, Roosevelt et Churchill, sont mélangés à une mosaïque de gens anonymes suggérant le rôle important que les citoyens ordinaires ont joué dans l’issue de la guerre. + AN EVENING SACRIFICE (ALEKSANDR SOKUROV, 1987, 20’, PAS DE DIALOGUE / GEEN DIALOOG) Dans ce film tourné en trois heures, le réalisateur porte un regard nouveau sur le défilé du 1er mai. La façon d’observer et de décrire la foule rappelle, pour s’y opposer, le cinéma d’avant-garde soviétique des années 20, et particulièrement celui d’Eisenstein.
10.10 ¦ 20:00 SPIRITUAL VOICES, PART 1 (ALEKSANDR SOKUROV, 1995, 156’, CHAPITRES 1-3, VO ST FR) Spiritual Voices est un “journal de guerre, une narration en cinq chapitres”, présenté ici en deux séances. Aux confins du Tadjikistan et de l’Afghanistan, Aleksandr Sokurov plante sa caméra, choisit son cadre et filme durant plusieurs mois la vie quotidienne d’une brigade de garde-frontières de l’armée russe. Soldats oubliés à l’extrémité de l’empire éclaté et qui s’enlisent dans ce conflit, ils font face à un ennemi omniprésent mais invisible.
17.10 ¦ 20:00 SPIRITUAL VOICES, PART 2 (ALEKSANDR SOKUROV, 1995, 168’, CHAPITRES 4-5, VO ST FR)
24.10 ¦ 20:00 A SIMPLE ELEGY (ALEKSANDR SOKUROV, 1990, 20’, PAS DE DIALOGUE / GEEN DIALOOG) Montage d’images tournées en Lituanie en 1990, alors que le pays était sous le blocus de Moscou qui refusait de reconnaître son indépendance. Deux héros : le peuple lituanien et son président, Vytautas Landsbergis, filmés dans le bâtiment du Soviet suprême et dans les rues de Vilnius. En co-programmation avec Bozar dans le cadre de Jonas Mekas / The Fluxus Wall.
+ READING THE LENINGRAD SIEGE BOOK (ALEKSANDR SOKUROV, 2009, 96’, VO ST ANGL) Le long siège de Leningrad pendant la Seconde Guerre mondiale a coûté un million de vies civiles. Dans ce documentaire, acteurs, journalistes, étudiants, soldats, tous de Saint Petersbourg, lisent des témoignages sur cette «catastrophe historique et culturelle», extraits du livre «Le journal du blocus» de Daniil Granine et Ales Adamovitch.
28.10 ¦ 20:00 CONFESSION (ALEKSANDR SOKUROV, 1998, 260’, VO ST FR) Par le prisme de la vie à bord d’un équipage de conscrits, de leurs corvées, de leurs quarts, de leurs conversations, le commandant du vaisseau esquisse une profonde réflexion sur lui-même, favorisée par la solitude. En un long voyage de nuit ponctué d’apparitions fantômatiques, Sokurov trace ici une fresque humaine émouvante, où se révèlent les contours du destin historique de la Russie.
18.11 ¦ 20:00 LENINGRAD. A RETROSPECTION. 1957-1990 (ALEKSANDR SOKUROV & ALEXEI JANKOWSKI, 1990, 110’, VO ST ANGL) En 1990 Sokurov commence la compilation des images d’actualités produites par la télévision de Leningrad, les “Leningradskaïa kinokhronika”. En 2008, le film est retravaillé avec la participation d’Alexei Jankowski. Une histoire qui fait deviner le sens caché de cette présentation officielle de l’histoire soviétique et d’un temps tragique, mais aussi plein d’humour et de lyrisme.
21.11 ¦ 20:00 WE NEED HAPPINESS (ALEKSANDR SOKUROV & ALEXEI JANKOWSKI, 2010, 64’, VO ST FR) Au centre de ce récit sur la communauté kurde, déchirée par l’histoire, se trouvent les figures de deux femmes âgées, à la tête de leurs familles, vivant dans les montagnes du Kurdistan irakien. Peindre une communauté musulmane du Moyen Orient à travers le portrait d’une femme, maîtresse de la maisonnée, est le défi du film qui veut se loger au coeur de la contradiction.
28.11 ¦ 20:00 ALEXANDRA (ALEKSANDR SOKUROV, 2007, 95’, VO ST BIL) Alexandra, une grand-mère – incarnée par Galina Vishnevskaya, gloire de l’opéra russe et épouse du célèbre violoncelliste Mstislav Rostropovitch – affronte un long voyage, la chaleur et les dangers de la guerre en Tchétchénie, pour aller embrasser son petit-fils, capitaine dans l’armée russe, qu’elle n’a pas vu depuis sept ans.
PRATIQUE / PRAKTISCH PRIX / PRIJS: €6 PAR SÉANCE / PER VERTONING 25€ / 15€ PASS FILMS AT GALERIES + EXPO PROGRAMMATION / PROGRAMMATIE: CELINE BROUWEZ, ALEXEI JANKOWSKI, DOMINIQUE PAÏNI EN COLLABORATION AVEC / IN SAMENWERKING MET: BOZAR, CINEMATEK, LE CENTRE CULTUREL RUSSE, L’AMBASSADE DE LA FÉDÉRATION DE RUSSIE AU ROYAUME DE BELGIQUE REMERCIEMENTS / DANK AAN: TONIE DEWAELE, JULIETTE DURET, ALEXEI JANKOWSKI

ALEKSANDR SOKUROV

Pour la première fois, le travail et la connaissance muséographique d’Aleksandr Sokurov, réalisateur russe sont exposés à Bruxelles: une large rétrospective de ses films est à découvrir à BOZAR, CINEMATEK et GALERIES ainsi que l’exposition Les Courageux à GALERIES, dirigée par l’artiste lui-même. Aleksandr Sokurov n’a joui d'une liberté de création dans son pays qu'après la chute de l'URSS et n’a accédé à la reconnaissance internationale qu’en 1996, avec Mère et fils. L’envie commune aux trois lieux de célébrer le réalisateur russe et l’union de leurs efforts ont rendu possible cette rétrospective exceptionnelle.

viernes, 16 de agosto de 2013

ÓSCAR TUSQUETS (1941): MONUMENTO HOMENAJE A DALÍ (FIGUERAS, 2002)





Como si no bastaran las esculturas  pertrechadas por los arquitectos Calatrava o Krier, hace unos diez años, el arquitecto Óscar Tusquets (patrón de la Fundación Gala-Dalí, y "prototipo del artista integral", según la propia página web de artista integral), fiel a su estilo, proyectó una escultura -perdón: una "intervención artística", en palabras suyas- para celebrar el vigésimo quinto aniversario de dicha fundación, tratando de evitar el aspecto kitsch de las esculturas creadas a partir de cuadros del "Maestro" -menos mal, pues sino....
La obra se inspira en el sugerente cuadro de Salvador Dalí: Nacimiento de las angustias líquidas, de 1932. ¡Ah! el paso de la ilusión a la dura realidad.





Consiste en un enhiesto ciprés de láminas de acero inoxidable verdosas y azuladas, de veinticuatro metros de alto -debe de ser la única escultura vista desde la luna-, en cuya parte superior está adherida, como si el viento (la tramontana, seguro) hubiera levantado un papel grasiento contra el árbol, una lámina arrugada marrón en forma de babero, cuyas partes inferiores evacuan un chorro de agua que forma un charco que dibuja lo que parece un mapa. No digo cómo se conoce popularmente a semejante obra, situada, como suele ser habitual, en el centro de una rotonda (sin duda sería necesario un estudio sobre los monumentos plantados en las rotondas españolas), en una de las entradas de la ciudad catalana de Figueras.

El artista quería que, de lejos -de muy lejos- no se supiera si se trataba de un ciprés descomunal -o un ¿cactus?-o de una imitación, jugando con la ambigüedad de las imágenes, propia de la obra de Dalí.

Debe de ser la estatua más peculiar de España, junto con el monumento al presidente Carlos Fabra en la entrada del aeropuerto de Castellón de la Plana, y el monumento a Maciá, de Subirachs, en la plaza Cataluña de Barcelona.

Véase la poética descripción en: http://www.tusquets.com/fichag/427/05-monumento-a-salvador-dali

jueves, 15 de agosto de 2013

JOAQUÍN LALANNE (1989): EL ENIGMA DE UN MOMENTO (2013)





Quizá las obras pictóricas del joven pintor uruguayo Joaquín Radío Lalanne (becado por la Fundación Antonio Gala), afincado en Cadaqués (España), en cuya galería Iturria expone hasta el 16 de agosto, puedan ser un estudio aplicado o fuera del tiempo sobre la pintura metafísica de de Chirico, el surrealismo (de Magritte), y el pop art, o puedan ser más ilustrativas o decorativas que pictóricas (como el arte de Magritte -que era cartelista-, por otra parte), pero al menos dos de aquéllas, Tres verdades (confrontando la verdad del arqueólogo, con la fantasía del arte de la imagen, y el dudoso conocimiento que brinda el rumor), y, sobre todo, La conversación, muestran, de manera irónica, en qué se ha convertido el legado clásico: un decorado acartonado (y desconchado), preservado para el turismo.